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RESUME DES BIENFAITS ET VERTUS DU SILICIUM ORGANIQUE

-  Le silicium organique contribue à l’architecture et l’élasticité du tissu conjonctif  et est  donc essentiel à la formation et à la régénération de la peau, des articulations, mais aussi des ongles, des cheveux.

- Le silicium organique contribue à la calcification osseuse

-  Le silicium organique aide à la cicatrisation

-  Le silicium organique maintient la flexibilité des vaisseaux et protège les artères du risque cardio-vasculaire.

-  Le silicium organique améliore le fonctionnement du système immunitaire

-  Le silicium organique améliore le fonctionnement endocrinien

-  Le silicium organique améliore la fonction anti-inflammatoire

-  Le silicium organique s’oppose à la prolifération de tissu graisseux

-  Le silicium organique protège contre les effets néfastes de l’aluminium (au niveau de l’os et du cerveau)

-  Le silicium organique protège contre le vieillissement de tous les tissus en général

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Les vertus métaboliques du silicium organique en biologie humaine

Répartition du silicium dans l’organisme

La fixation du silicium par l’organisme commence dès la vie fœtale au niveau du cerveau, des muscles et de la rate, avant de se diversifier vers d’autres organes.

Le corps adulte contient en globalité environ sept grs de silicium, ce qui le place, comme le fer (4 grs) en situation intermédiaire entre les minéraux tel que le sodium,  le potassium, le calcium, le magnésium , le  phosphore et les oligoéléments.

On retrouve le silicium sous forme minérale (acide silicique) et sous forme organique, incorporé à des macromolécules. Dans le sang, le silicium est présent à  environ 5 mg/l, majoritairement sous forme libre, c'est-à-dire non liée à des protéines.

Le silicium est présent à différents niveaux de la structure cellulaire : nucléole, mitochondrie, réticulum endoplasmique, centrioles (initiateurs de la division cellulaire). On le trouve aussi au niveau des membranes où il est un acteur des fonctions membranaires.

Sa répartition est inégale dans les tissus. Il est abondant dans :

Le tissu conjonctif qui assure la jonction, le soutien et la souplesse,
Le tissu cartilagineux,
La peau et les phanères,
Le tissu lymphoïde,
Le poumon et les glandes surrénales.

On le trouve principalement dans les zones de croissance et de régénération.

Les dérivés solubles du silicium (acide silicique) ont la capacité d’établir des liaisons hydrogènes notamment avec l’azote et l’oxygène. Ils peuvent donc réagir avec les molécules organiques azotées et/ou oxygénées.

Certaines molécules ont un lien important avec le silicium, présents dans la consolidation de leur structure et/ou catalyseur de certaines enzymes de leur biosynthèse.

Parmi ces molécules on retrouve des protéines fibreuses dont le collagène : rigide et inextensible qui est la protéine la plus abondante de l’organisme, constituant essentiel des tissus conjonctifs, avec une teneur élevée en glycine, proline et Hydroxyproline.

L’élastine: souple et élastique, abondante dans le tissu conjonctif jaune que l’on retrouve notamment au niveau du poumon, des parois vasculaires et de la peau.

Des glycoprotéines de structure, les glucosaminoglycanes et polyuronides dont l’acide hyaluronique  abondant dans les articulations où sa fonction est essentielle.

Des Phospholipides membranaires sur lesquelles les dérivés du silicium sont fortement adsorbés par des liaisons hydrogènes et ioniques.

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Besoins et apports de silicium organique

Les besoins quotidiens en silicium organique sont généralement évalués entre 15 à 50 mg par jour, ce qui correspond aux apports d’une alimentation habituelle, bien que sur ce fait il semble que des besoins plus important soit possible, du fait des carences observées malgré ces apports.

Les apports de silicium sont difficiles à évaluer, du fait de l’assimilation variable. Il y a en effet une grande différence entre ce qui est consommé et ce qui est réellement assimilé au niveau digestif et ce qui arrive effectivement au niveau des cellules et du tissu conjonctif.

Le silicium est apporté sous forme soluble dans l’eau et sous forme colloïdale à partir des végétaux. Les dérivés organiques ne sont pas présents dans l’alimentation. Une extrapolation à partir de travaux chez l’animal estime les véritables besoins (en silicium biodisponible) entre 2 et 5 mg par jour. Ces besoins réels ne sont pas toujours couverts par les apports du fait d’une faible assimilation.

Assimilation du silicium

Elle est très variable selon les formes et est globalement faible. Selon les travaux de Yokoi et Enomoto, parmi les formes minérales, seul l’acide silicique en monomère et oligomère peut franchir la barrière intestinale et donc avoir une activité biologique. Les polymères sont donc dénués de toute activité biologique.

Le taux d’assimilation des diverses formes minérales dépend de la proportion de forme soluble de la nature des dérivés : acide monosilicique, oligosilicique, ions silicates associés à divers minéraux.... Il est généralement compris entre 1 et 10% et diminué par la présence de fibres.

Les dérivés organiques du silicium ont un mode d’absorption différent des formes minérales. C’est une assimilation directe par diffusion, avec une efficacité supérieure à 70%, d’autant plus importante qu’il n’y a pas de mélange avec le bol alimentaire.

Diminution du silicium organique avec l’âge

On sait que la teneur corporelle en silicium est étroitement liée au degré de vieillissement (naturel ou conjoncturel) et diminue de façon irréversible, cela a été observé et vérifié expérimentalement.

Cette diminution du silicium présent dans l’organisme est en partie physiologique, les zones

de croissance et de régénération où il abonde sont importantes dans l’enfance et l’adolescence et deviennent plus rares ensuite. Les besoins ne sont plus les mêmes et la quantité de silicium fixé par l’organisme baisse. La diminution du silicium organique disponible,  peut entrainer une baisse de certaines capacités fonctionnelles de l’organisme et l’installation d’un terrain favorable à certaines maladies.

Même si les apports ne diminuent  pas, c’est la difficulté de l’organisme à assimiler les formes minérales de silicium qui est à l’origine de cette diminution régulière et continue, liée au processus de vieillissement.

Différentes études ont montré qu’il y a décroissance importante des taux de silicium, notamment au niveau de la peau et des artères entre la maturité sexuelle et la fin de vie. Cette diminution peut atteindre 80% dans certaines zones de l’organisme. En résumé l’assimilation est dépendante de l’âge, mais aussi du sexe. La femme assimile mieux le silicium que l’homme jusqu’à la ménopause. Cet avantage disparaît ensuite, comme celui de la protection cardiovasculaire. L’influence d’un facteur hormonal chez la femme semble donc établie

RESUME DES BIENFAITS ET VERTUS DU SILICIUM ORGANIQUE

-  Le silicium organique contribue à l’architecture et l’élasticité du tissu conjonctif et est         donc essentiel à la formation et à la régénération de la peau, des articulations, mais aussi des ongles, des cheveux.

- Le silicium organique contribue à la calcification osseuse

-  Le silicium organique aide à la cicatrisation

-  Le silicium organique maintient la flexibilité des vaisseaux et protège les artères du risque cardio-vasculaire.

-  Le silicium organique améliore le fonctionnement du système immunitaire

-  Le silicium organique améliore le fonctionnement endocrinien

-  Le silicium organique améliore la fonction anti-inflammatoire

-  Le silicium organique s’oppose à la prolifération de tissu graisseux

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Le silicium organique, impliqué dans les processus fondamentaux de la vie ?

Contrairement à ce que l’on a longtemps cru, le silicium est l’un des douze éléments majeurs de la composition élémentaire des organismes. Le silicium, même à l’état de traces, joue un rôle biologique majeur et doit être considéré comme un élément essentiel de la vie. Il est notamment nécessaire à une croissance normale pour de nombreuses espèces par catalyse et/ou synergie.

Présence du silicium organique dans le corps humain :

Le sang humain contient près de 10 mg par litre de silicium organique (le 1/10° du calcium). L’organisme humain en comporte environ 7g au total, plus que du fer (3 à 3,5g), beaucoup plus que du cuivre (100 à 150mg), encore plus que du cobalt, du nickel, du zinc…

Le silicium organique est principalement présent dans les os, les parois vasculaires, la rate, les tendons, les muscles, les surrénales, le pancréas, le foie, les reins, le cœur, la thyroïde et le thymus. De récentes études ont montré que le fœtus humain est très riche en silicium, cette réserve étant naturellement adaptée à la formation des os, des phanères et à leur entretien.

Important le silicium organique ?

La teneur en silicium organique diminue considérablement avec l’âge dans les tissus les plus riches (peau, artères, thymus) une baisse supérieure à 80% entre la maturité sexuelle et la fin de vie. Il semble donc important d’envisager de maintenir ou de rétablir le niveau de silicium organique dans notre organisme. 

C’est quoi le silicium ?  où trouve t on du silicium ?

Le Silicium est le métalloïde le plus présent sur terre puisqu'il entre à près de 28 % dans la composition de la croûte terrestre.

Longtemps considéré comme un oligo-élément, les recherches de ces  vingt dernières années ont permis de constater qu'il faisait partie des macro-éléments secondaires. Rappelons rapidement ces éléments majeurs :
- Macro-éléments :
Sodium(Na), Potassium(K), Phosphore(P), Calcium(Ca), Magnésium(Mg) 
- Macro-éléments secondaires :
Silicium (Si), Bore (B), Brome (Br), Rubidium (Rb), Strontium (Sr)

Dans le tableau de Mendeleïev, le silicium appartient au même groupe que le carbone. Le silicium, le carbone et le phosphore sont capables de se substituer l’un l’autre. Le silicium a une grande affinité pour l’oxygène Les liaison –SI-O-SI-O de la molécule sont très souples.

Le silicium peut donc remplacer le carbone dans un certain nombre de réactions biochimiques.

Le silicium se présente à l’état naturel sous 2 formes : minérale et organique.

Silicium Minéral à l’état solide : la silice Si02 naturelle provient de la diatomite (roche formée dans le fond des océans par l’accumulation d’algues) et du sable (alluvions de la rivière).

Silicium Minéral l’état liquide : l’acide orthosilicique Si(OH)4 ,forme quasi exclusive de transport du silicium dans le milieu naturel qui se retrouve dans certaines plantes.

Silicium Organique : le silicium organique CH3Si(OH)3 appelé aussi silanol qui possède au moins un atome de carbone lié à l’hydrogène et de ce fait est la seule source de silicium réellement assimilable par l’organisme.

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Le rôle fondamental du Silicium dans notre organisme

Inhibiteur ou activateur dans de nombreux mécanismes biochimiques, régulation du couple acido-basique, action anti-inflammatoire…..

Structurant et protecteur de nombreuses macromolécules de soutien : élastine, collagène, protéoglycanes

Potentialisateur entrainant d’autres molécules comme des agents thérapeutiques

Détoxifiant : favorise la dépolarisation membranaire et l’amélioration de la respiration cellulaire

Favorise le processus de minéralisation dans l’ossification

Composant structurel et défenseur de différents tissus conjonctifs tels que les os, le cartilage, le tissu du derme et de l’aorte

Fonction essentielle dans le métabolisme des muco poly-saccharides et biopolymères formant la substance extra cellulaire de beaucoup de tissus

Ainsi, le silicium constitue le premier rempart des défenses naturelles de l’organisme et trouve une place de tout premier plan dans la thérapeutique actuelle. De plus, la prise de silicium organique préalable et simultanée à tout autre traitement amplifie l’efficacité du dit traitement, action de potentialisation.

Intérêts thérapeutiques du Silicium organique

Douleurs, scléroses et décalcification du système osseux et musculaires sont toujours précédées d’une baisse importante du niveau de silicium organique

Fractures osseuses et croissance

Peau : le silicium est un élément majeur qui constitue la peau contribuant ainsi à l’architecture et à l’élasticité de la peau

Phanères et dents : le silicium organique favorise la repousse des ongles et cheveux cassants, ternes et secs, action fortifiante du silicium organique.

Athérosclérose et artériosclérose : Le silicium organique agit comme un inhibiteur des maladies coronariennes. Le silicium organique a un rôle protecteur de l’artère en maintenant son élasticité et en favorisant son imperméabilité aux substances nocives lipidiques du sang circulant, empêchant ainsi les dépôts de toutes sortes.

Diabète : le pancréas sain est une glande particulièrement riche en silicium organique

Silicium organique action sur les perturbations hormonales et du système nerveux :

Une prise régulière de silicium organique prévient les effets indésirables de la ménopause

Sur le Vieillissement le silicium organique est un  anti-oxydant et anti-âge. Les fibres sclérosées calcifiées et dures retrouvent leur élasticité et leurs propriétés mécaniques.

Le silicium organique permet le Renforcement du système de défense immunitaire : prévention des cancers

Le silicium organique aide à réguler l’hypertension
Le silicium organique améliore la circulation cardio- vasculaire et générale
Le silicium organique améliore les problèmes d’arthrose et de rhumatisme.

Les besoins quotidiens estimés pour cet oligo-élément essentiel ont été estimés de 10 à 50 mg/jour mais il semble que ce soit nettement en dessous des besoins réels de l’organisme.

D’autres articles sont en préparation pour développer l’intérêt du silicium organique  A bientôt

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EFFETS du curcuma / INDICATIONS du curcuma

Antioxydant, anti-inflammatoire, anticoagulant, cholérétique action sur le foie

Indications du curcuma , Bienfaits du curcuma:

En prévention du cancer, action antioxydante de la curcumine (un composant du curcuma).
Contre les douleurs articulaires grâce à sa forte action anti-inflammatoire
Contre l'excès de cholestérol
Contre l'excès d’acidité gastrique  le syndrome du côlon irritable, la "crise de foie"

En dermatologie, en cas d'application locale, le curcuma pourrait aider à soigner le psoriasis et certain eczéma
Eventuellement protection du foie et prévention de la cirrhose selon une étude parue en 2010, mais pour le moment seulement prouvé sur la souris

Le curcuma pourrait aider à protéger le foie et éviter la cirrhose

Le curcuma, utilisé depuis longtemps comme anti-inflammatoire par la médecine ayurvédique indienne, pourrait aider à traiter les maladies des voies biliaires, qui conduisent souvent à la cirrhose. Ces vertus sont révélées par une étude conduite par des chercheurs européens et américains.

Une équipe de chercheurs autrichiens et texans a voulu établir si ces vertus anti-inflammatoires s'appliquaient aux maladies des voies biliaires, dont l'obstruction augmente fortement le risque d'apparition de la cirrhose et contre lesquelles le seul recours est la greffe.

Ils ont donc modifié génétiquement des souris pour rendre leur foie malade d'une inflammation chronique. A un groupe des souris ils ont fait ingérer du curcuma pendant quatre à huit semaines, tandis que les autres étaient soumises à un régime normal.

Dommages réduits

Les chercheurs ont constaté que le curcuma, en intervenant dans le processus inflammatoire, avait permis de "réduire de façon significative" les dommages au foie mais aussi le blocage du canal biliaire, en agissant sur l'inflammation des cholangiocytes, les cellules qui tapissent le conduit.

Cela valait aussi bien pour les souris ayant absorbé du curcuma pendant quatre semaines que pour celles en ayant absorbé pendant deux fois plus longtemps. Ces résultats, selon les chercheurs, pourraient "fournir une approche thérapeutique prometteuse".

L'étude, conduite sous l'autorité de Michael Trauner, professeur de médecine interne à l'université médicale de Graz (Autriche), est publiée dans Gut, un des journaux publiés par l'association médicale britannique (BMA).

Source: ATS 23 mars 2010

La curcumine, qui constitue le principal composé du curcuma possède plusieurs activités pharmacologiques, notamment des propriétés hypocholestérolémiantes (qui conduisent à une diminution de la quantité de cholestérol en circulation dans le sang), activité antioxydantes (plusieurs fois supérieures à la vitamine E) et anticancéreuses.

Des études révèlent que la curcumine serait bénéfique dans la prévention de certains cancers mais aussi dans leur traitement ; c'est le cas notamment du cancer de l'estomac, de l'intestin, du foie, de la peau et du côlon, ce dernier faisant d'ailleurs partie des cancers sur lesquels la curcumine pourrait avoir le plus d'influence bénéfique, en prévenant la détérioration des tissus qui peut survenir lors des traitements de chimiothérapie.

Sachant que la faible biodisponibilité du curcuma, autrement dit sa faible absorption par l'organisme, qui réduit l'efficacité de ses bienfaits thérapeutiques, il est intéressant de savoir que le poivre qui contient de la pipérine, cette pipérine peut augmenter de plus de 1 000 fois l'absorption de la curcumine par l'organisme. Un mélange judicieux donc !  

GLOBOCAN 2000, un logiciel qui donne accès à de l'information sur les taux d'incidence, de prévalence et de mortalité associés à 26 cancers majeurs à travers le monde, révèle des chiffres pour le moins surprenants quant à la différence entre le nombre de cancers en Inde et aux États-Unis. Pour le cancer de la prostate par exemple, sur 100 000 hommes, seulement 5 ont été touchés en Inde, contre 104 aux Etats-Unis. Même constat pour le cancer du sein : sur 100 000 femmes, 19 ont développé un cancer du sein en Inde, contre 91 aux États-Unis... Des chiffres qui parlent d'eux-mêmes !

Le curcuma épice :

Sur le système cardio-vasculaire, le curcuma aura une action intéressante  en prévenant les dépôts de graisse (cholestérol) dans la membrane des artères et en diminuant le taux de cholestérol dans le sang. De plus, ses actions anti-inflammatoire et fluidifiante aident à prévenir et à soulager la thrombophlébite.

Divers problèmes affectant le système digestif peuvent être soulagés grâce à la curcumine. Cette  derniere améliore en effet la digestion, en stimulant le foie et la vésicule biliaire. En augmentant la solubilité de la bile, elle peut prévenir la formation de calculs. L'épice sacrée des Hindous constitue également un excellent hépatoprotecteur et bactéricide. L'hépatite, la jaunisse, la diarrhée, les ulcères gastriques, les flatulences ou encore les ballonnements sont autant de maux qui peuvent être soulagés sous l'action du curcuma.

En médecine ayurvédique, le curcuma est très utilisé pour traiter des affections à caractère inflammatoire. On compare même son action à celle de la cortisone ! Tout ce qui est arthrite, rhumatismes, douleurs musculaires, arthrite rhumatoïde, tendinite et bursite peuvent donc être apaisés grâce aux propriétés  anti-inflammatoires du curcuma.

Alors, on inscrit le curcuma sur sa prochaine liste de commissions ? Dame Nature regorge de trésors thérapeutiques ; à nous de leur faire honneur !

EFFETS SECONDAIRES  Curcuma / CONTRE-INDICATION curcuma  / INTERACTIONS curcuma

Effets secondaires du curcuma : troubles gastriques (seulement à forte dose).
Contre-indication du curcuma : affections gastro-intestinales comme occlusion des voies biliaires, calculs biliaires

Important : Étant un fluidifiant sanguin, le curcuma ne doit pas être associé à un anticoagulant sans avis médical

  D'autres informations sur le curcuma et ses bienfaits

Les origines  du plasma marin hypertonique, un peu d'histoire !